À force de vouloir soigner la santé africaine à coups de cloud, d’interface fluide et de téléconsultation, Docdialy s’est taillé une place dans le très sélect programme Morocco 200 - GITEX Africa 2025. Comprendre : une sorte de top des startups marocaines les plus prometteuses du moment. Leur mission ? Rien de moins que démocratiser les soins de santé avec une plateforme 360°, aussi intuitive qu’un vocal WhatsApp, et accessible même aux technophobes.
L’équipe, composée d'experts marocains de la tech et des SI, ne veut pas juste digitaliser les soins : elle veut les rendre vraiment humains, personnalisés et inclusifs. Leur logiciel ? Un véritable cabinet médical dans le cloud, où se croisent rendez-vous en darija, dossiers médicaux numérisés, et téléconsultations sur mesure. Tout ça, pour 10 dirhams par jour côté praticien, et zéro dirham pour le patient. Voilà une ordonnance qui a de quoi plaire.
Si le but était de transformer le rapport au soin, pari réussi. Docdialy permet aux médecins de zones reculées (et pas que) de suivre leurs patients à distance, de manière sécurisée, rapide et surtout, sans s’arracher les cheveux avec des paperasses. L’interface ? Simple comme bonjour, pensée autant pour les as du digital que pour ceux qui ne jurent que par le bon vieux papier. Cerise sur le stétho : la plateforme est multilingue (oui, le darija inclus), configurable sans coder, et prête à s’intégrer à toutes les structures, assurances et pharmacies comprises.
Du 14 au 16 avril, à Marrakech, GITEX Africa s’annonce comme le rendez-vous des champions du digital africain. Avec plus de 250 fonds d’investissement (Sequoia Capital, Partech Africa, etc.), et un focus tout particulier sur la HealthTech, Docdialy s’offre une rampe de lancement en or pour convaincre financeurs, partenaires et institutions de rejoindre l’aventure. Et, pourquoi pas, étendre son modèle à d’autres coins du continent.
Fatima Zahra Bentaleb, la COO, l’assure :
« Ce n’est pas un hasard si on est là. On veut vraiment créer une solution tech simple, accessible et taillée pour nos réalités locales. »
